Le vendredi 21 mars 2025, un moment significatif a marqué la collaboration entre la société GALF FORMATION et l’ONG SECOURS International Djaba Fanta. La signature du contrat de partenariat, qui s’est tenue en présence des deux parties, a été célébrée par le président de l’ONG, Monsieur Camara Mohamed, et Monsieur Gnagne Abedi Mel Jean-Baptiste, Directeur de GALF FORMATION.

Ce partenariat représente une synergie précieuse entre une entreprise engagée dans la formation des jeunes et une ONG qui lutte activement contre l’immigration clandestine. GALF FORMATION, reconnue pour ses programmes de formation spécialisés dans la conduite et la maintenance de gros engins, dispose de plusieurs succursales à travers le pays, offrant ainsi des opportunités professionnelles à de nombreux jeunes.

De son côté, SECOURS International Djaba Fanta œuvre sans relâche pour sensibiliser les populations sur les dangers de l’immigration clandestine et pour proposer des alternatives viables. Grâce à ce partenariat, les deux organisations visent à créer des opportunités d’emploi significatives pour les jeunes, contribuant ainsi à la lutte contre l’immigration illégale en offrant des formations adaptées aux besoins du marché.

Les deux dirigeants se sont réjouis de cette collaboration prometteuse, convaincus qu’ensemble, ils pourront non seulement renforcer les capacités des jeunes, mais également bâtir un avenir plus sûr et plus stable pour les communautés locales. Ce partenariat est donc une étape importante vers un développement durable et responsable, dans le respect des aspirations et des besoins des jeunes générations.

Ibo François

Le mercredi 12 février 2025, le Président de l’ONG SECOURS INTERNATIONAL DJABA-FANTA, Monsieur Mohamed Camara, a effectué une visite importante au siège du Forum des ONG et Associations D’Aide à l’Enfance en Difficulté, situé à Abobo Kennedy. Accompagné de son Secrétaire général adjoint, Soro Siaka, cette rencontre visait à établir un partenariat stratégique dans le cadre d’une tournée nationale de sensibilisation contre l’immigration clandestine.

Monsieur Mohamed Camara a été accueilli par le Professeur Osséi Kouakou, Président du Conseil d’administration du Forum, qui était entouré de plusieurs membres clés du forum, notamment Monsieur Camille Tano Kouassi, trésorier adjoint, Madame Guian Monnou Mauricette Épouse Douan, trésorière, Monsieur Kouakou Kouassi Augustin, Directeur exécutif intérimaire, et Madame Coulibaly, Secrétaire générale.

Les discussions qui se sont tenues entre les deux parties ont été particulièrement enrichissantes, mettant en lumière l’importance de la collaboration entre les ONG pour faire face aux défis de l’immigration clandestine. Les deux organisations ont convenu de l’urgence d’unir leurs forces pour sensibiliser les populations sur les dangers de l’immigration illégale et promouvoir des alternatives viables.

À l’issue de cette rencontre constructive, un rendez-vous a été fixé pour une future rencontre, au cours de laquelle la signature de ce partenariat sera officiellement concrétisée.

Ce projet de collaboration marque une étape significative dans la lutte contre l’immigration clandestine et témoigne de l’engagement des ONG à travailler ensemble pour le bien-être des enfants et des familles en difficulté.

Ibo François

Dans un effort constant de lutter contre l’immigration clandestine, Monsieur CAMARA Mohamed, un ancien migrant ayant vécu l’expérience douloureuse de l’immigration, mène depuis plusieurs semaines des tournées de sensibilisation. Au cœur de cette initiative se trouve un film qu’il a lui-même réalisé, illustrant les dangers et les réalités auxquelles font face ceux qui choisissent de quitter leur pays pour tenter leur chance ailleurs.

Monsieur Camara Mohamed président de l’ONG SECOURS INTERNATIONAL DJABA-FANTA

Le jeudi 13 février 2025, le centre de formation ZAGAL, situé dans la commune de Yopougon Andokoi, a eu l’honneur d’accueillir Monsieur CAMARA pour une projection de son film. Cette rencontre a été l’occasion pour de nombreuses jeunes filles de prendre conscience des risques encourus lors de voyages vers l’inconnu. Après avoir visionné le film, plusieurs participantes ont exprimé leur souhait de rester en Côte d’Ivoire, déterminées à éviter le calvaire vécu par Monsieur CAMARA et ses compatriotes.

Lors des échanges qui ont suivi la projection, une jeune fille a partagé son témoignage sur une proposition de voyage au Maroc. Elle a expliqué comment des erreurs administratives dans la préparation de ses documents l’avaient dissuadée de poursuivre ce projet, la protégeant ainsi d’un potentiel danger. Ce récit a mis en lumière la vulnérabilité des jeunes face aux promesses d’une vie meilleure à l’étranger.

Monsieur CAMARA a également évoqué les souffrances endurées par les femmes sur le chemin de l’immigration, soulignant les abus, les violences et la prostitution auxquels elles sont souvent confrontées. Son témoignage a été particulièrement poignant lorsqu’il a raconté la perte tragique de son enfant, né en son absence et décédé, une douleur exacerbée par l’éloignement de sa famille à cause de son voyage.

« Tout ce que nous menons aujourd’hui sur le terrain commence à porter des fruits, car de nombreux jeunes renoncent déjà aux voyages clandestins grâce à la projection de ce film. Nous prévoyons d’organiser une tournée à travers tout le pays pour aborder ce sujet crucial avec la jeunesse », a-t-il déclaré avec conviction. Monsieur CAMARA a également partagé sa propre transformation, affirmant qu’il ne retournerait plus en Europe, ayant compris qu’il était possible de réussir et de s’épanouir en Côte d’Ivoire.

Enfin, le « père » Ange LOBOUËT a lancé un appel aux jeunes filles, les exhortant à prendre leur métier au sérieux et à croire en leurs capacités pour se réaliser dans leur propre pays. Ce message fort et inspirant résonne comme un espoir pour un avenir meilleur, loin des dangers de l’immigration clandestine.

Cette initiative de sensibilisation, portée par Monsieur CAMARA et soutenue par des personnalités comme le père LOBOUËT, souligne l’importance d’informer et d’éduquer les jeunes sur les réalités de l’immigration, tout en les incitant à valoriser leurs compétences et à envisager des perspectives d’avenir au sein de leur propre pays.

Ibo François